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UN : principe unique. DEUX : principe dualiste.
Où est la vérité ?
Depuis la nuit des temps, les hommes se combattent autour de ces deux principes fondamentaux. Aussi loin que les historiens puissent remonter, l’homo sapiens a éprouvé le besoin d’imaginer un principe unique ou dualiste qui lui était supérieur, extérieur.
La civilisation égyptienne, sur près de 4000 ans, a imaginé un principe supérieur magique peuplé de plusieurs dieux ou d’un seul selon les époques. Les Grecs et les Romains voyaient leur environnement investi de nombreux Dieux, Demi-dieux, Titans et divinités diverses. Certains de leurs philosophes ayant émis l’hypothèse que l’univers serait régi par un seul principe, se sont retrouvés condamnés à l’exil ou à la mort. Quand les premiers chrétiens sont apparus, croyant à un Dieu unique, ils ont fait l’objet de persécutions cruelles. Et plus tard, l’inquisition catholique a reproduit des turpitudes atroces sur ceux qui croyaient différemment.
Que se passe t-il donc ?
Pourquoi cette question du principe unique ou dualiste soulève-t-elle autant de passion et de haine ?
Aujourd’hui, encore, l’homme se querelle sur la nature d’un principe supérieur unique ou dualiste.
La science, elle-même, fait l’objet de ce combat : les dernières découvertes en physique quantique démontrent, expériences à l’appui, que la conscience précède la réalité physique et l’univers matériel. À l’échelle de l’infiniment petit, les notions de temps et d’espace répondent à des lois qui changent selon le point d’observation.
Ce constat apporterait la preuve que la théorie du principe unique est la bonne.
L’esprit de l’homme ne serait pas séparé de la conscience qui serait Dieu.
Mais le problème auquel se heurtent les physiciens est le suivant : qu’est-ce que la conscience ?
À partir de là, les scientifiques se divisent en deux camps, ceux qui raisonnent en dualistes et ceux qui se fondent sur l’unique.
Le principe dualiste repose sur l’hypothèse qu’il y a d’un côté, l’homme en tant qu’observateur et de l’autre côté son environnement. Deux choses différentes et opposées, séparées.
Le principe unique repose sur l’hypothèse que l’homme n’est qu’une partie de l’environnement et qu’il n’existe aucune séparation.
Pour réunir les deux camps, il faudrait donc mettre en œuvre des expériences qui étudierait la conscience. Reproduire de la conscience en laboratoire serait une expérience qui mettrait tout le monde d’accord, en apparence !
Par exemple, un robot pourrait-il être conscient, c’est-à-dire savoir qu’il est un robot ?
L’idée peut faire sourire ! Et pourtant, c’est bien sur ça que travaille le camp des dualistes : le cerveau produirait de la conscience, pourquoi un ordinateur ne le pourrait pas ?
Le camp du principe unique résout cette interrogation d’une manière fondamentalement différente : la conscience par sa qualité unique contient ce qui est dualiste, elle ne peut donc être étudiée et observée par un principe extérieur à elle-même puisque rien ne peut être extérieur.
Peut-on éclairer la lumière ou faire la nuit là où il y a la nuit ?
Alors qu’est-ce que la conscience ?
Les physiciens se sont donc transformés en métaphysiciens pour répondre à cette question. Méta, étymologiquement, voulant dire : au-delà, plus loin que …
Et les physiciens n’ont pas du tout, mais pas du tout aimé cela. L’un d’entre eux, dont je ne citerais pas le nom afin d’éviter de jeter de l’huile sur le feu, a dit : quand j’entends parler de métaphysique, je sors mon fusil.
Sous-entendu la conscience, en tant que principe unique, ne nous intéresse pas !
Quelle est la conclusion que nous pouvons tirer de cela ?
Et bien, l’idée que nous serions des êtres conscients, donc responsables de leurs actes, semble extrêmement dérangeante pour certains, au point qu’ils s’entretueraient avec raison.
Pourquoi est-ce si dérangeant ?
Personne n’aimerait découvrir sa part d’irresponsabilité et de lâcheté. Personne n’aimerait découvrir qu’il ne peut sen prendre qu’à lui-même et renoncer à trouver des boucs émissaires aussi noirs soient-ils.
Ainsi, comprendre et réaliser que nous sommes des êtres conscients, créateurs de la totalité de ce qui nous entoure et nous arrive, est extrêmement difficile à accepter.
Bien souvent, les grands mystiques ont réalisé cela suite à des épreuves qui les avaient plongés dans les bas-fonds de l’existence. La souffrance les a amenés à changer et à voir que tout est UN.
Mais si nous ne changeons pas, cette peur de nous-mêmes devient alors un terrain propice à la manipulation.
C’est là, le sujet de ce roman :
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Un thriller doublé d’un roman initiatique …
Une malédiction ou un complot infâme : un implant, serait responsable de notre manque de puissance et la perte de notre liberté. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration. Dans son testament spirituel, elle nous livre ses secrets …
Daniel de St André.
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