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Le Jeu de la vie. La vie est un jeu, le plus beau des jeux.
Mais certains ont transformé le jeu en punition.
Pourquoi ?
Peut-être se sont-ils pris au jeu.
Se prendre au jeu : les expressions populaires sont souvent riches d’enseignements. Celle-ci l’est particulièrement. Aimer jouer, est certainement le plus grand plaisir de la vie, mais se prendre au jeu au point d’en devenir prisonnier est certainement la plus grande punition, bien inutile, que l’être puisse s’imposer à lui-même.
Que se serait-il passé ?
Un jeu est devenu tellement attrayant que l’être s’y attarde. Finalement, il se limite aux personnages du jeu et se dédouble autant de fois que nécessaire pour entrer dans chacun des personnages. Par la suite, il commet une première erreur en s’identifiant à son personnage préféré. Le temps passant, il s’emprisonne dans ce personnage au point de n’être plus que cela, incapable de se réincarner dans une autre identité.
Mais, gardant la mémoire inconsciente de sa véritable nature d’être unique et illimité, il dramatise l’espoir de la retrouver en créant un dieu unique tout-puissant qui pourrait le sortir de cette impasse, moyennant obéissance aveugle. La deuxième erreur, fondamentale, qu’il commet à cet instant précis, est de placer sa véritable nature hors d’atteinte, extérieure à lui-même, supérieure à sa misérable condition humaine, dépendante d’un dieu.
Il est significatif que nombre de religions craignent le dieu, qu’elles adorent, elles veulent se contraindre par la force à réintégrer l’espace divin. Mais cette force est une forme de résistance, ce qui entraine l’immobilité et même dans certains cas, la régression.
Ce scénario engendre alors toute une suite de traumatismes entrainant un karma qui conforte la prison virtuelle.
Comment l’Être pourra t-il sortir de ce piège autoprogrammé ?
Il semblerait qu’il y ait 2 façons de s’en extraire :
- Quand la souffrance occasionnée par les traumatismes est trop grande, un renversement soudain et spectaculaire s’opère et l’Être réintègre sa nature illimitée.
- La souffrance motive l’Être à observer par la méditation les décisions néfastes qu’il avait adoptées. Ce faisant, il remonte graduellement la pente du fossé où il s’était lui-même jeté, jusqu’à revenir à sa nature illimitée.
Concernant la conscience collective et les crises de civilisation, le scénario est le même et les façons de s’en extraire identiques :
- Quand l’ampleur de la crise est irréversible, la civilisation s’autodétruit, en provoquant divers cataclysmes tels que guerre nucléaire, tsunami, météorite géante, basculement des pôles, etc. Une autre civilisation renaitra des cendres de la première.
- Avant que la crise soit irréversible, une minorité de personnes se remettent en question et se réveillent à leur vraie nature. Elles entraineront un effet de dominos qui créera un égrégore suffisamment puissant pour résoudre la crise.
Il semblerait que notre civilisation soit engagée dans cette deuxième voie. De plus en plus de personnes reprennent conscience de leur véritable nature d’être unique et illimité. L’issue heureuse ou malheureuse de cette voie dépend du rapport entre la puissance de l’égrégore et l’endormissement de la civilisation.
Le principe unique est amour, amour signifiant un minimum de séparation. Plus nous réduisons l’espace de cette séparation, plus nous augmentons nos chances de surmonter la crise.
Je vous propose la lecture de mon roman « L’Implant », doublé d’un thriller initiatique, une aventure de la conscience à travers le jeu de la vie et les chemins épineux de l’inconscience pour aboutir à la conscience illimitée.
Une malédiction ou un complot infâme : un implant, serait responsable de l’esclavage spirituel de toute une communauté. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration. Dans son testament, elle nous livre ce secret …
« L’Implant », un roman de 450 pages à découvrir et à offrir.
Daniel de St André.
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