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Conscience et saut quantique

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La conscience, le mental et l’esprit.

Ces trois termes souvent confondus ou associés approximativement, sont à l’origine d’une grande confusion spirituelle responsable du déni de notre véritable nature.

Si nous parvenions à les définir correctement, nous opérerions un saut quantique important, voir définitif (leurs sens étant souvent détournés ou inversés).  

Mais qu’est-ce exactement qu’un saut quantique ?

Là encore, nous avons besoin d’une définition pour savoir de quoi nous parlons.

Saut quantique :

C’est ce que nous appelons communément une prise de conscience. C’est une révélation soudaine d’une réalité cachée.

Souvent, nous avons l’impression que nous avions toujours su cela, qu’il s’agissait d’une vérité oubliée.

Ce n’est pas une déduction opérée à partir de contenus mentaux. Ce n’est pas en réfléchissant que nous pouvons faire un saut quantique. C’est en éliminant la confusion ou le brouillard mental et spirituel qu’apparaît une révélation. C’est comme faire de la place pour accueillir un invité. C’est dissoudre de la masse au sens physique du terme.

D’où vient cette révélation ?

De la Conscience de l’être ! …

L’être n’étant qu’une partie du tout qui n’est rien, du potentiel illimité, du champ quantique … 

Pourquoi dit-on que c’est un saut ?

Parce qu’il y a élévation à travers les niveaux de conscience sans qu’il y ait déplacement. C’est immédiat, ça ne peut être recherché, espéré ou attendu, il n’y a pas de chemin à suivre ou d’exercice à faire, bien que souvent cette révélation suive à force de recherche. C’est un saut dans une autre dimension sans qu’il y ait besoin de franchir une distance.

C’est du style :

  • Mais oui bon sang, c’est ça !
  • Je le savais, mais pourquoi je ne le voyais pas ?

Le désir, l’attente, l’envie, l’impatience, sont des résistances qui bloquent l’apparition de ces révélations. Nous vivons souvent cela comme une contradiction, et c’en est effectivement une.

Pourquoi ?

Parce que le désir d’avoir une révélation provient du mental conscient ou inconscient.

Le mental n’est qu’un outil pratique pour résoudre les problèmes de survie quotidienne. Quand nous désirons une révélation, inconsciemment, nous attendons du mental (ne disposant pas de ce genre de réponses), qu’il nous éclaire.

En réalité, nous connaissons déjà la réponse et n’avons besoin d’aucune révélation extérieure.  Ce “je” qui connait la réponse n’est autre que l’être que nous sommes. Et cet être a accès directement à la Conscience dont il est une division.  La Conscience, (le tout qui n’est rien divisé en plusieurs êtres afin de jouer aux innombrables jeux de vie et de mission) révèle sa connaissance à travers l’être, quand le mental qui ne sait rien de ces sujets – arrête d’interpréter, de juger, d’évaluer ou de condamner – se tait enfin.

Nous passons de notre identité habituelle, Jeanne, Pierre, Myriam, Bob, etc …  , (qui ne sont que des créations, des personnalités transitoires, crées pour remplir certaines tâches et inaptes pour d’autres)  à “je suis !”

En physique quantique, les scientifiques parlent d’effet tunnel, voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_tunnel

Si nous comprenons cela – (nous n’avons pas nécessairement besoin dans un premier temps de le réaliser spirituellement, puisqu’en réalité nous le savons déjà) – nous voyons que notre approche du tout qui n’est rien, est inversée.

C’est très important de comprendre cela.

Qu’est-ce qui est inversé ?

Notre perception !

Nous percevons que la conscience émane de nous. Certains matérialistes, (si vous avez lu cet article jusqu’ici, vous n’en êtes pas), vont jusqu’à croire que la conscience est un produit du cerveau.

L’inversion réside ici : la conscience n’émane pas de nous, c’est nous, l’être, qui émanons de la Conscience, provenant de la pleine conscience qui et vide, le tout qui n’est rien et que pourtant nous sommes. Un paradoxe pour le mental.

La chose est tellement renversante que l’esprit résiste !

D’ailleurs, il n’aime généralement pas l’idée d’être rien, même s’il s’agit du tout.

Oui, il faut bien l’admettre, nous tenons à nos limitations … 

Mais le résultat est le déni de notre véritable nature.

En fait, ce qui s’accroche aux limitations est le mental, ce n’est pas nous ! 

Aussi, si vous le voulez, examinons tout cela en utilisant une autre voie.

En définissant les mots suivants :

L’être, le mental et le corps.

La plupart des traditions admettent que nous sommes constitués de trois éléments principaux : le corps physique, le mental et l’être.

Un certain nombre d’autres éléments peuvent être distingués, tels que l’âme, le corps éthérique, l’astral, etc…   Mais ces subtilités ne sont que différenciations ou niveaux de l’esprit, et si nous souhaitons définir les choses aisément, il est plus commode de s’en tenir aux trois éléments cités ci-dessous.

Voici mes propositions de définitions :

Le corps : organisme humain, animal, végétal ou minéral constitué principalement de cellules. Habituellement nous considérons l’humain constitués de tissus musculaires et conjonctifs attachés à un squelette d’os.

Le mental : lieu d’enregistrement des pensées, des souvenirs et des programmes. Par pensées, il faut entendre également les concepts et les idées. Par programmes, il faut entendre n’importe quels mécanismes de survie.

L’être : esprit individuel identifié à un corps physique ou spirituel, quels qu’ils soient, (corps humain, animal, végétal, minéral, éthérique, astral, etc …  ), traitant et exploitant les pensées, concepts, programmes et idées stockées dans son mental.

Le corps, le mental et l’être sont des créations de l’être conscient, qui provient de la conscience absolue, pleine. Habituellement, nous parlons de la conscience au niveau individuel de la personne. Ce n’est pas la pleine conscience. C’est une conscience limitée aux perceptions de l’individu qui peut varier suivant le niveau d’éveil à sa véritable nature. Il est donc opportun de définir la pleine conscience.

La pleine conscience : le tout qui n’est rien, le potentiel illimité, le champ ou la matrice illimités au-delà de l’énergie-espace –temporel-matériel.

C’est ce que nous sommes fondamentalement, mais souvent nous ne le percevons que partiellement et cela nous amène à croire que nous avons une conscience personnelle. Ce n’est pas le cas !

Nous sommes des identités issues de la Conscience, qui se croient séparées d’elle.

N’importe quelle création est à l’intérieur de la conscience. Si nous acceptons et comprenons cela, il est inapproprié de dire : j’ai une conscience.

Qui serait donc ce “je” qui dit avoir une conscience ?

C’est ici que se produit l’inversion qui entraîne le déni de notre véritable nature et produit une régression quantique. Une chute au lieu d’un saut.

Pourquoi la conscience serait-elle à l’extérieur de nous ? En effet, quand nous disons : j’ai une conscience, nous posons clairement que nous ne sommes pas la conscience. N’étant pas la conscience, qui ou que sommes-nous ?

Qui est ce “je” qui dit avoir une conscience, un mental, un corps, une âme et tout un tas de possessions diverses.

Nous devrions donc dire : je suis conscience !

Si nous pouvons répondre à cette question, alors nous opérons un saut quantique important et renversant.

Le thriller “L’Implant”, doublé d’un roman initiatique, surfe sur cette inversion de la perception.  Une malédiction ou un complot infâme visant à réduire l’être à un humanoïde mortel : un implant serait responsable des crises de civilisation. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration et était sur le point d’intégrer sa véritable nature.

Dans son testament spirituel, elle nous livre ce secret …

“L’Implant”, un roman de 450 pages à découvrir !

Et en attendant, je serais heureux de connaitre vos remarques et commentaires.

Daniel de St André


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