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Pourquoi n’aurions-nous qu’une seule vie ?

Comme le nuage de Tchernobyl, il n’y a aucune raison que la vie s’arrête à la frontière d’une seule vie. C’est pourquoi la réincarnation est une réalité.

Bien sûr, si l’on est persuadé que la conscience est un produit du cerveau, alors nous n’avons qu’une seule vie. Dans le même ordre d’idée, imaginons que dans un avenir proche, nous construisions des corps en carbone équipés d’ordinateurs quantiques capables de produire des êtres super-conscients. Nous disposerions alors d’un temps de vie très long.

Sauf que la conscience n’est pas quelque chose que l’on met en marche !

Aussi sophistiqué que puisse être un ordinateur, il faudra au départ que quelqu’un enfonce le bouton START, et qu’ensuite, il se prenne pour un robot.

Quand les pièces en carbone commenceront à se déliter, le gars foncera aux pièces détachées. Aujourd’hui, vous pouvez déjà vous faire congeler en attendant que la science cultive en laboratoire tous les organes qui pourraient vous manquer. Ces adeptes de la « cryonie pensent que leur conscience provient du cerveau.

Extraordinaire, non ?

OK ! Mais alors la conscience dans tout ça ?

Et bien, la conscience, c’est simplement le gars qui se ronge les ongles et se fait du mouron. C’est le gars qui se dit : si mon cerveau se décompose, je n’existe plus. Et pourtant, le simple fait de croire ça, démontre qu’il n’est pas son cerveau. As-t-on déjà vu une voiture s’inquiéter parce qu’elle commençait à rouiller ?

Non, c’est le conducteur qui s’inquiète.

C’est ça la conscience !…

La conscience est la seule chose capable de donner une impulsion à partir du néant !

Pas le big-bang, le néant !

Et cette chose est immortelle.

En dehors du temps, elle n’est rien et tout dans le même instant, elle peut s’incarner dans ses propres créations et s’en retirer à n’importe quel moment. Cette chose appelée conscience, peut faire encore plus fort : elle peut décider qu’elle n’existe pas et se renier totalement.

A des degrés divers, c’est ce que la plupart d’entre nous avons fait, et ceci depuis plusieurs réincarnations.

C’est comme si nous jouions à cache-cache depuis un certain temps. La bonne nouvelle, c’est qu’il ne s’agit que d’un jeu. À un moment donné, nous allons nous rappeler que nous avions décidé de jouer à cache-cache.

C’est inévitable !

Et les premiers signes de rappel arrivent à grands pas : NDE, souvenirs de vies passées, techniques de méditation, etc …   etc …

Alors pourquoi s’être égaré en soi-même ?

Par goût du risque, avec une pointe de masochisme, histoire de voir ce que ça donnerait, et sans doute pour autant de raisons que d’âmes existantes dans un univers infini.

L’une de ces raisons, serait un implant.

Là, on se sert des mauvaises intentions d’un autre pour devenir son esclave spirituel. Un jeu comme un autre !

Le roman « L’Implant », doublé d’un thriller initiatique, surfe sur ces éléments époustouflants.

Une malédiction ou un complot infâme : un implant, serait responsable de l’esclavage spirituel de toute une communauté. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration. Dans son testament spirituel, elle nous livre ce secret …

« L’Implant », un roman de 450 pages à découvrir et à offrir.

Daniel de St André

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