Le changement est omniprésent dans nos vies.
L’accepter, c’est faire un pas vers qui nous sommes et se rapprocher de la vie de nos rêves.
Avez-vous remarqué comme nous sommes tous touchés par le changement ?
« De notre temps, on s’amusait avec un rien » ; « Quand j’étais jeune, je récupérais plus vite » ; « A l’époque, cela ne coûtait presque rien, j’aurais dû l’acheter »… J’entends régulièrement des phrases de ce type qui disent « C’était mieux avant ». Toutes ces réflexions impliquent que quelque chose ne convient pas et que l’on désire un changement dans sa vie pour un mieux-être.
C’est plus ou moins conscient, mais nous aspirons tous à améliorer notre vie. Dès que vous captez une pensée du style « c’était mieux avant », cela vous montre un désir de changement.
"Rien n’est permanent, sauf le changement." Héraclite d’Ephèse
Nous désirons tous changer… et nous avons tous peur du changement…
Le changement, associé au mouvement, fait partie intégrante du processus de vie. Et pourtant nous connaissons tous cette fameuse résistance au changement ! Nous pouvons même parler de résistance à la vie…
"Plus tu évites le changement, plus tu entraves le processus de croissance dans ta vie." ASW
Pourquoi nous coupons-nous de la vie ainsi ?
Parce que nous avons peur ! Nous avons peur de vivre parce que nous avons peur de ne pas y arriver, d’être critiqué, blâmé, mis de côté… A ce moment-là, nous laissons notre ego nous diriger et nous perdons notre pouvoir. « Ça ne sert à rien », « De toute façon, c’est voué à l’échec », « C’est trop cher », « Ça marche pour les autres mais pas pour moi », « Que vont penser les autres ? »… Vous les reconnaissez ? Ces petites phrases nocives de notre ego !
"Tout est changement, tout évolue, tout est en devenir, non pour ne plus être, mais pour devenir ce qui n'est pas encore." Epictète
A quoi ça sert de changer ?
Changer, c’est trouver le cœur de qui nous sommes. Changer, c’est nous aligner avec qui nous sommes profondément : nous faisons suivre nos désirs par des actions. En ne changeant pas, nous renonçons à être qui nous sommes réellement. En ne changeant pas, nous laissons un environnement négatif ou neutre nous dominer et nous servir d’excuse à notre stagnation.
Ainsi la Vie, avec tous les changements actuels, nous pousse sûrement à nous diriger vers qui nous sommes et à vivre la vie qui nous correspond vraiment !
"Le futur, c’est là où je vais passer le reste de ma vie." Woody Allen
La joie d’être en accord avec soi
Pour vivre la vie de nos rêves, il est donc essentiel d’accepter le changement, et même de l’apprécier.
Un des moyens efficaces pour dépasser cette peur de changer, c’est de se centrer sur la joie que ce changement va nous procurer. En recontactant ce sentiment d’unité quand nous sommes en accord avec nous-mêmes, nous arrivons plus facilement à nous engager vers ce que nous voulons vraiment, et à faire un premier pas, quel qu’il soit. Ainsi, nous nous remettons en mouvement, nous permettons à la vie de circuler plus naturellement ; et nous nous donnons la possibilité de nous remettre en route vers qui nous sommes réellement, vers la réalisation de nos rêves.
Et lorsque nous débusquerons nos pensées limitantes, nous pourrons dire : « C’était mieux… APRÈS ! ».
"Il n’est jamais trop tard pour changer de vie. Il n’est jamais trop tard pour vivre sa vie."
Pour aller plus loin :
-
Stage “En route vers Soi-m’aime”
Des vacances différentes pour être pleinement vivant(e) !
5 jours de vacances pour redonner sens à son existence.
Avec une approche originale centrée l’aspect ludique et créatif, recontactez vos aspirations profondes et engagez-vous à vivre la vie de vos rêves, accompagné(e) par Emeline Hubert, psychologue spécialisée dans la réussite des changements de vie (méthodes “Ecoute Ton Corps” (Lise Bourbeau), “Guéris ta vie” (Louise Hay), “Jeu de la Transformation” (Findhorn)…).
Inscriptions et renseignements : 06 84 48 92 36
- Histoire de l’arbre qui voulait rester nu
Il était une fois un arbre. Au beau milieu d’un verger, il était sorti de terre, petite pousse verte et fragile se confondant avec les herbes alentour. Curieux de tout, il regarda bien vite le monde qui l’entourait, les fleurs qui s’ouvraient le matin et se refermaient le soir, les oiseaux qui sifflaient en sautant de branche en branche, le paysan qui venait tôt le matin cueillir les fruits des arbres, les graminées qui ondulaient sous la caresse des vents… Ah !, il le trouvait beau ce monde autour de lui, il avait envie lui aussi de participer à cette beauté, de trouver sa place dans cette harmonie.
Une année s’écoula et, ayant grandi, il était devenu un petit rameau portant quelques tiges. Il se rendit compte qu’il n’était pas un brin d’herbe comme il l’avait crû tout d’abord, mais un arbre et se mit à observer plus attentivement ses aînés. Il les trouvait si grands, si beaux recouverts de leurs feuilles et de leurs fleurs ; il fût si émerveillé de voir toutes ces fleurs se transformer en fruits, il fût si attendri des soins attentifs que leur apportait le paysan, mais… [lire la suite sur le site d’Emeline Hubert]