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Atteindre la perfection ?

Si Dieu lui-même nous proposait la perfection, le bonheur et la sagesse, la connaissance ultime et la vérité absolue, l’accepterions-nous ?

Peut-être pas ! …

Nous nous rendrions compte bien vite que la perfection parfaite et absolue tue la passion, l’aventure et la recherche, la joie de découvrir et surmonter ses difficultés, d’aimer à nouveau quand ce sentiment s’étiolait, de redécouvrir sa véritable nature et notre puissance d’être illimité.

Soyons rassuré, Dieu n’existant pas, personne ne nous proposera cette option. La seule personne qui en dispose, c’est nous, et dans notre sagesse intérieure, nous en usons modérément.

Il m’a fallu du temps pour comprendre cela, mais maintenant que je le ressens, l’apaisement s’installe en moi.

Ça aussi, c’est le bonheur !

Mais pourrait-on atteindre l’absolue perfection ? 

Non, car l’aventure ne serait plus possible. Il faut un peu d’ignorance pour suivre le chemin. Si nous connaissions déjà l’aboutissement, où résiderait la joie de vivre ?

Bien sûr, dans le passé, nous avons choisi des chemins bordés d’épines et de précipices, nous nous sommes égarés dans des impasses où un monstre hideux nous a dévorés, puis, nous avons ressuscité de nos cendres. Ainsi, nous n’avons plus besoin d’expérimenter ces chemins, nous pouvons en choisir d’autres paisibles et bienheureux.

Et si nous souhaitons encore éprouver ces sensations fortes, nous avons d’autres créations moins dangereuses, le cinéma, le théâtre, la peinture et la sculpture, toutes les formes d’art et d’imagination.

Je vous propose la lecture de mon roman « L’Implant », doublé d’un thriller initiatique, une aventure de la conscience à travers les chemins épineux de l’inconscience pour aboutir à la conscience. 

Une malédiction ou un complot infâme : un implant, serait responsable de l’esclavage spirituel de toute une communauté. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration. Dans son testament, elle nous livre ce secret …

« L’Implant », un roman de 450 pages à découvrir et à offrir.

Daniel de St André. 

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