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Nous pourrions assister à de nombreux satsangs, suivre un maître toute notre vie, passer le reste de notre existence au fond d’une grotte en méditation, tant que nous nous croyons séparés du monde, il nous sera impossible d’accéder à l’éveil.
Le sage dit : le chercheur ne peut trouver ce qu’il est déjà.
Pour celui qui est un fervent adepte de nombreuses pratiques spirituelles, cette évidence n’a plus de secret, et pourtant il se peut qu’il ne parvienne pas à s’éveiller. Oui, par la pratique de l’ascèse ou de la simple observation, nous pouvons réaliser que nous sommes la pleine conscience éveillée. Mais cette compréhension ne dissout pas les croyances cachées au fond de notre inconscient.
La souffrance rattachée à ces croyances sera ravivée au contact de situations présentes ressemblant au passé où se sont construites ces croyances.
L’éveil ne sera pas stable.
L’explication réside dans la croyance fondamentale que nous serions un être limité.
Effacer ou ignorer cette croyance, nécessite de déblayer les croyances qui la recouvrent. Nous pouvons comprendre que nous sommes un être illimité et le conscientiser pleinement. Mais si nous n’avons pas authentifié certaines croyances qui y sont reliées et la masquent en partie, l’état de pleine conscience ne pourra être stable et permanent.
Si nous n’avions aucunes croyances auxquelles nous sommes attachés comme à la prunelle de nos yeux, nous serions éveillés. Les croyances sont justes des postulats que nous adoptons en vue de provoquer un effet particulier.
Par exemple :
Croyance ” J’absorbe tous les jours le nombre de calories nécessaires à ma survie”.
Si je viens à manquer de nourriture, je dépérirais plus rapidement que si j’avais adopté la croyance “je suis capable de résister longtemps à un manque de calories”.
Il est donc intéressant de changer ses croyances pour en choisir de nouvelles plus judicieuses. Mais, à l’image de la maxime bien connue : un train peut en cacher un autre, une croyance en cache souvent d’autres.
Dans notre exemple, supposons que cette personne soit morte de soif et de faim dans un désert, lors d’une vie antérieure. Juste avant de rendre son dernier souffle, elle se jure à elle-même que dorénavant ” je ne veux plus jamais mourir de faim et je me jetterai sur tout ce qui se mange”.
Puis elle se réincarne dans les pays froids, histoire de ne pas s’exposer inutilement.
Mais une fois installée dans un corps de chair, elle oublie complètement sa mort précédente et surtout l’existence de sa croyance. Elle devient boulimique, ce qui la pousse à s’améliorer et contrôler son corps. Elle adopte donc la croyance ” j’absorbe tous les jours un peu moins que le nombre de calories nécessaires à ma survie”.
Néanmoins, plus elle respecte cette nouvelle croyance, plus elle continue à grossir. Elle entreprend alors une retraite spirituelle et un jeun important sans succès. Comme les statues de l’endroit représentent des bouddhas ventrus, elle décide de changer sa croyance à son avantage comme preuve de sa haute spiritualité.
Malheureusement, quelques années plus tard, elle meurt de complications cardiovasculaires. On peut imaginer quelles sortes de croyances elle empilera sur ses croyances précédentes et quel pourra être son karma.
Atteindre la croyance fondamentale ” je suis un être limité”.
Changer la croyance consistant à s’identifier à son corps, à sa personnalité ou même à son âme est difficile à remettre en question tant que les énergies maintenant cette identification en place sont plus importantes que l’énergie qui pourrait être utilisée pour se détacher d’elle.
La quantité d’énergie investie dans les croyances cachées ne peut être libérée qu’en entreprenant un travail d’exploration de l’inconscient. Un travail de surface ne permettra d’atteindre que les croyances récentes. Mais plus nous reconnaîtrons ces croyances de surface et les intégrerons, plus nous dégagerons la couche qui empêche d’accéder aux profondeurs. Le moment arrivera où l’énergie récupérée sera plus importante que l’énergie mobilisée dans l’inconscient.
Le reste se révélera alors facilement à la conscience.
Tant que ce point d’équilibre entre les énergies inconscientes et les conscientes, n’est pas atteint, il est nécessaire de se faire aider par un thérapeute de types psychanalytiques. Les pratiques énergétiques ne seront pas efficaces car elles ne dévoilent pas les croyances cachées en grandes profondeurs. Et ce sont ces dernières qui au final, maintiennent en place le piège de l’inconscient.
La structure énergétique de l’inconscient est constituée d’images, de sons et de sensations associées à la souffrance des traumatismes. À la base de ces traumatismes, il y a une croyance qui a provoqué la situation. Et ces situations traumatiques sont empilées le long des vies qui se succèdent par similarité de sujet.
Quand on met la main sur le traumatisme fondamental et que nous l’intégrons, c’est-à-dire à l’instant où nous reprenons conscience de l’ensemble des images, des sons et des sensations, la croyance responsable apparaît soudainement.
C’est la libération !
Certains êtres se sont éveillés brusquement suite à une très grande souffrance. C’est probablement comme un package du total abandon qui a provoqué la remontée. Mais qui accepterait de se mettre volontairement dans la souffrance extrême pour atteindre l’éveil ?
Cette stratégie ne fonctionnerait pas pour celui qui l’entreprendrait délibérément, car le sage a dit :
Le chercheur ne peut trouver ce qu’il est déjà.
Le thriller “L’Implant”, doublé d’un roman initiatique, dénonce l’un de ces traumatismes responsables de la crise actuelle : une malédiction ou un complot infâme, un implant !
Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui ayant découvert cette conjuration, était sur le point d’intégrer sa véritable nature. Dans son testament spirituel, elle nous livre ce secret …
“L’Implant”, un roman de 450 pages à découvrir.
Daniel de St André.
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